Qui aurait dit qu’en deux ans de travail acharné, de bons choix artistiques, Soso Maness, le gars de
Font-Vert (Marseille), percerait sur la scène rap et s’y installerait, comme l’un de ses artistes les plus appréciés
et les plus validés ? Qu’après ses deux premiers albums, Rescapé (2019) puis Mistral (2020), et à l’aube de la
sortie du troisième, il aurait une flopée de titres à plusieurs millions de vues (« Pochon Vert », « TP », « Dans mes
rêves », « Interlude » …) et un tube mainstream scandé de stades en fêtes de famille confinées « So Maness »
(35 millions de vues sur Youtube) qui cartonne en radio, sans faire de concession à son écriture paramétrée
pour dire des vérités ? Pourtant c’est la route qu’il s’est tracée lui-même en seulement deux ans !
Qui aurait dit qu’en deux ans de travail acharné, de bons choix artistiques, Soso Maness, le gars de
Font-Vert (Marseille), percerait sur la scène rap et s’y installerait, comme l’un de ses artistes les plus appréciés
et les plus validés ? Qu’après ses deux premiers albums, Rescapé (2019) puis Mistral (2020), et à l’aube de la
sortie du troisième, il aurait une flopée de titres à plusieurs millions de vues (« Pochon Vert », « TP », « Dans mes
rêves », « Interlude » …) et un tube mainstream scandé de stades en fêtes de famille confinées « So Maness »
(35 millions de vues sur Youtube) qui cartonne en radio, sans faire de concession à son écriture paramétrée
pour dire des vérités ? Pourtant c’est la route qu’il s’est tracée lui-même en seulement deux ans !